Si vous habitez dans le grand Est, vous l’avez forcément aperçu à l’occasion d’une démonstration de l’un de nos robots. Lui, c’est Frédéric Leclercq, en charge de la robotique pour notre distributeur basé dans la Marne, Thiérart Agri.
Est-ce que vous pouvez vous présenter en quelques mots ?
Je suis Frédéric Leclerq. Jusqu’à l’année dernière, je travaillais en région parisienne, dans le secteur informatique et j’ai eu envie de revenir à Reims. A cette époque-là, Thiérart -spécialiste de la vente et de l’entretien de grosses machines agricoles- avait décidé de proposer du matériel de robotique agricole à ses clients et j’ai donc été recruté pour créer et développer ce département. J’ai toujours aimé l’innovation, et le contact avec les gens, donc je suis heureux dans mon travail. Je suis arrivé en février 2017, et en juin je lançais le partenariat avec Naïo pour proposer vos solutions à nos clients.
En quoi consiste ce travail ?
J’organise énormément de démonstrations, une quarantaine par an. Donc je me déplace beaucoup, aussi bien chez des maraîchers du grand est que dans des structures comme Planète Légumes, une station d’expérimentation dédiée aux cultures légumières et qui permet d’accueillir plus de producteurs d’un seul coup ou encore chez des vignerons. J’i également quatre robots qui tournent sur mon secteur et qui sont de véritables vitrines pour moi.
Quel est l’accueil réservé aux robots ?
Que ce soit Dino pour les grandes cultures, Oz pour les petits maraîchers ou Ted pour la viticulture, on sent un intérêt croissant. Beaucoup ont pris conscience que les robots agricoles peuvent être une solution de désherbage dans un contexte de suppression du glyphosate. Ils sont d’ailleurs nombreux à venir nous demander d’adopter des outils de Dino pour des cultures spécifiques comme par exemple la betterave ou le maïs.